Enquêtes sur les helminthes du dromadaire tchadien. Etude des strongyloses gastro-intestinales et de l'haemoncose à Haemoncus longistipes
DOI :
https://doi.org/10.19182/remvt.7498Mots-clés
Dromadaire, Helminthe, Cestoda, Enquête, Nematoda, Métabolisme des protéines, Trypanosoma, Pneumonie, Variation saisonnière, Alimentation, Mortalité, Trematoda, Maladie de l'appareil digestif, Strongylose, Haemonchus longistipesRésumé
Les auteurs ont procédé dans les zones Nord de la République du Tchad, au-delà du 13e parallèle, à l'autopsie de 132 dromadaires et à de nombreux examens hématologiques et coproscopiques. Les parasites rencontrés comprennent 22 espèces appartenant à 17 genres différents. Les plus fréquentes sont, dans l'ordre décroissant: Cephalopina titillator (72,6 p. 100), Haemonchus longistipes (72 p. 100), divers Anoplocephalidae agents du téniasis (47,1 p. 100), les Kystes d'Echinococcus granulosus (35,6 p. 100), Buckleyuris globulosa (34,8 p. 100), Oesophagostomum columbianum (28 p. 100), Strongyloides papillosus (22,7 p. 100) et de nombreux Trichostrongylidae et Heligmosomatidae (14,4 p. 100) Trichostrongylus vitrinus; Trichostrongylus probolurus; Impalaia nudicollis). Ces parasites sont associés dans 85 p. 100 des cas notamment avec Nématodes gastro-intestinaux. Ils agissent: - en prélevant du sang; - en modifiant certains métabolismes; - en irritant la muqueuse intestinale. Bien souvent helminthes et trypanosomes sont associés. Le taux de morbidité oscille autour de 90-100 p. 100. La mortalité annuelle est estimée à 4 p. 100 dans certaines zones du Nord-Est de la RépubliqueTéléchargements
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© M.Graber et al., publié par CIRAD 1967
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